BAIE D’ALGER – Grandes Baies

Alger vue de la mer

© Farid BENYAA

«Elle a tout d’une grande, elle a un extraordinaire potentiel qui la prédestine à être la plus belle ville du monde. Il suffit juste de le croire et de le vouloir. Rien n’est impossible. En attendant cet élan salvateur, sans prétendre révolutionner l’urbanisme, ceci est juste une invitation à tous ceux qui façonnent le paysage algérois, quel que soit leur rang, de mettre un peu de rêve et un brin de folie dans leur manière de faire. La ville et la vie n’en seront que plus belles.»  Mohamed Youssef BENMERABET – « Alger, une baie à vivre »


La Baie d’Alger – Le Mythe

© Farid BENYAA

« J’en eus les yeux très longtemps éblouis. Ils le sont restés… Je dirais qu’Alger m’était littéralement rentrée dedans. A grand fracas, sans ménagements ni chichis, comme seules en ont le pouvoir les villes qui nous deviendront à jamais inoubliables. » Malek ALLOULA – « Alger sous le ciel »


La Baie d’Alger – La Pêcherie

© Farid BENYAA

“En tout état de cause, le tissu urbanistique et le patrimoine architectural d’Alger, sont d’une richesse et d’une qualité exceptionnelles, comme un parcours rapide peut le faire constater. » Rachid SIDI BOUMEDINE


La Baie d’Alger – Le lac des lumières

© Farid BENYAA

« J’ai la chance de vivre face à l’une des plus belles baies au monde, celle d’Alger. J’aime la regarder et bâtir au fond de ses yeux de nouveaux horizons ; elle a construit en moi tant de rêves. Lui donner ce sentiment de liberté que devaient éprouver jadis les corsaires audacieux qui écumaient la mer et qui venaient trouver un repos mérité au Bastion 23 ou Palais des Raïs. Ses mains ressemblent aux ailes déployées d’une mouette qui crie son besoin de rallier l’autre façade. Sa voix enivre les feuilles des arbres qui bruissent du vent de ses maux. » Leila BOUCLI


La Baie d’Alger – Le Joyau

© Farid BENYAA

« Au loin la baie d’Alger… Le rivage dessine un visage qui émerge de l’écume, Arcades, minarets, lacis de venelles en soulignent les traits. La ville est là, ville blême, ville troglodyte, Arcanes enfouis dans les murs chaulés, Mystérieusement dévoilée au regard. »  Leila HAMOUTENE


La Baie d’Alger – Pins maritimes

© Farid BENYAA

« Elle, c’est la baie d’Alger dans toute sa splendeur, quelle vue ! Quel panorama féerique ! Au fond, se dessine l’image sans égale de la ville sertie dans la montagne, avec son magnifique dégradé de couleurs, coincée entre la mer scintillante au premier plan et le ciel aux mille et une teintes… Terre de soleil et de lumière, elle nous offre un spectacle changeant mais toujours somptueux. Qu’au loin la ville se laisse à peine deviner à travers la brume d’automne, ou halo lumineux sublimé par la nuit méditerranéenne. Je l’ai connue sous toutes ses facettes jamais, au grand jamais, je ne m’en suis lassé. »  Mohamed Youssef BENMERABET – « Alger une baie à vivre »


Le boulevard Ernesto Che Guevara

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Le boulevard Ernesto Che Guevara est un large boulevard d’Alger constitué d’immeubles haussmanniens à arcades. Il est situé dans la commune de la Casbah et constitue une petite partie du boulevard du front de mer face au port d’Alger, dans le prolongement du boulevard Zighoud Youcef. Il honore l’homme politique révolutionnaire Che Guevara. Le boulevard est construit par l’architecte Frédéric Chassériau entre 1860 et 1871.


Le boulevard Zighoud Youcef

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Le boulevard Zighoud Youcef est un large boulevard d’Alger qui offre une vue en terrasse sur le port qu’il surplombe de 15 mètres. Il est constitué d’immeubles haussmanniens à arcades. Il constitue la majeure partie du boulevard du front de mer face au port d’Alger. Il porte le nom du héros de la guerre d’indépendance algérienne. Le boulevard est construit par l’architecte Frédéric Chassériau entre 1860 et 1866.


La promenade des sablettes

© Farid BENYAA

« Ô Toi, passant, tu me vois, Baie d’eaux, de luminescences, de lumières…  Devine et scrute plutôt la trajectoire secrète de mon arc, de mon souffle VIVANT…. Entre les chemins intérieurs multiples de ma Terre Algérienne et les ressacs incessants     des Temps présents et à venir, JE SUIS renaissance, résilience, jouvence, Etendard de la Beauté à reconstruire… » Yamilé GHEBALOU


Vue sur Alger

© Farid BENYAA


La rue Didouche Mourad

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La rue Didouche Mourad est une large rue d’Alger bordée de terrasses de cafés et de nombreuses boutiques. Elle constitue l’une des principales artères d’Alger-Centre. Anciennement rue Michelet, cet axe est renommé à l’indépendance rue Didouche Mourad, du nom du héros de la guerre de libération nationale.


La rue Larbi Ben M’Hidi

Place Emir Abdelkader

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La rue Larbi Ben M’hidi est l’une des principales artères commerciales du centre-ville d’Alger. Anciennement rue d’Isly, elle est renommée à l’indépendance de l’Algérie rue Larbi Ben M’hidi, du nom du héros de la guerre de libération nationale. Située au centre de la rue Larbi-Ben-M’hidi, cette place porte le nom de l’Emir Abdelkader en hommage au célèbre chef de la résistance algérienne à la conquête française. La Statue équestre fut construite par le sculpteur Polonais Marian Konieczny.


Dar Abdeltif

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« Dar Abdeltif a survécu, elle est miraculée… Une trace encore intacte de l’architecture algéroise du 17è siècle. Transformée, dénaturée certes mais, grâce à une restauration consciencieuse, la Dar reste une référence, un témoin (partiel) du savoir bâtir des familles d’Alger pendant trois siècles ou plus. Elle est une référence pour tous et en particulier pour les futurs bâtisseurs algériens. » Mounjia ABDELTIF – « Dar Abdeltif »


La grotte de Cervantès

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La grotte de Cervantès est un haut lieu d’histoire commune aussi bien aux Algériens qu’aux Espagnols. Ce site porte les empreintes de l’illustre écrivain et soldat Miguel de Cervantès Saavedra, père du roman universel « Don Quichotte de la Manche ». En 1575, il fut capturé par des corsaires. Il sera captif à Alger pendant cinq ans. En 1577, il réussit à s’échapper et trouve refuge dans cette grotte où il se cache pendant sept mois. Ce n’est qu’en 1580 qu’il sera libéré. Une stèle en hommage au captif a été érigée en 1926 et orne à présent un petit square aménagé autour de la grotte.


Le Palais de la Culture Moufdi Zakaria

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Le Palais de La Culture Moufdi Zakaria est une œuvre architecturale qui fut inaugurée le 1er novembre 1984 à l’occasion du 30ème anniversaire du déclenchement de la révolution algérienne. Il est baptisé au nom du poète Moufdi Zakaria, auteur de l’hymne algérien Kassaman. Le Palais abrite également le Ministère Algérien de la Culture et des Arts.

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