Villes & Monuments

Alger la blanche

© Farid BENYAA

« Alger la blanche », ville jetée en vrac à flanc de colline, qu’une brume de chaleur rend plus lumineuse sous le soleil, chaos de cubes gris et blanc que contient comme un rempart une longue série d’immeubles à arcades surplombant le port. Naguère les touristes arrivaient par mer.
Ils jouissaient de ce spectacle maintes fois décrit de la ville blanche, une des plus belles baies du monde.


Béjaïa – La vallée de la Soummam

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Béjaïa, « Bougie » en français, exporta pendant des siècles la cire d’abeille, produite dans les monts de Kabylie grâce à laquelle toute l’Europe s’éclairait aux chandelles ou Bougies…. Des sites vue sur mer d’une beauté sauvage s’étirent vers Cap Sigli et au-delà jusqu’à Azeffoun.


Tlemcen – La tour de MANSOURAH

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Tlemcen « la perle de l’Afrique du nord ». la cité aux trente sept minarets et aux cent monuments rivalisant de finesse et d’élégance. Elevé au XIVème siècle aux portes de la cité, le minaret de MANSOURAH haut de 40 m, reprend le décor qui demeure caractéristique des grandes tours d’Afrique du Nord. Son porche est justement réputé avec ses trois arcatures concentriques finement ciselées.


Oran – Santa Cruz

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Parmi les villes qui ont joué un rôle prestigieux dans l’histoire et la civilisation de notre pays, Oran occupe une place de premier plan. En 1509, les Espagnols font la conquête de la ville d’Oran. Ils y demeurent durant près de deux siècles. Du point le plus élevé du Cap Gata, sur la côte Sud de l’Espagne, on peut par temps clair, apercevoir confusément les contreforts rocheux de Aï Dour, aux pieds desquels se blottit Oran.


Constantine – Les gorges du Rhummel

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Constantine « La Perle du Rhummel » est bâtie sur un plateau rocheux en forme de trapèze, limitée par des ravins profonds où le plateau de la Mansourah isole la vieille ville de Constantine. Seuls plusieurs ouvrages d’art et d’étonnantes routes à plusieurs niveaux, permettent d’y accéder. Depuis l’époque turque, Constantine joua un rôle important, puisqu’elle devient la capitale de l’est Algérien.


Sétif – Djemila

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Djemila est à 45 km au Nord-Est de Sétif.
Exceptionnel, le site antique de Djemila l’est autant par la beauté formelle des ruines que par leur environnement naturel et par leur puissance évocatrice de la vie des siècles lointains. Au temps de la splendeur romaine, l’opulente Cuicul, l’actuelle Djemila, rivalisait avec la fastueuse Sitifis (Sétif), capitale de toute une province.


Annaba

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Aujourd’hui Annaba est le symbole de la sidérurgie en Algérie. La cité de Saint Augustin, la ville de Abou Marwan El Buni, est la frontière méditerranéenne dans les relations avec l’Europe ainsi que la frontière terrestre qui s’ouvre vers l’orient musulman. A Annaba, les plages naissent aux portes même de la ville. Comment ne pas goûter la douceur de vivre, dans cette ville, où la brise a l’odeur salée de la mer?


Tizi Ouzou – Beni Yenni

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Tizi Ouzou la ville au nom de fleur sauvage, le mot en kabyle signifie « col des genets ».
Les genets et avec eux toutes les fleurs de montagnes, couvrent les pentes abruptes des vallées voisines. Tizi Ouzou est à mi-chemin entre la mer et les hauts sommets du Djurdjura.


Les Aurès – El Kantara

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A El Kantara, pas deux Oasis ne se ressemblent. Le relief, la couleur et la structure du sol, l’abondance ou la rareté de l’eau font de chacune une entité personnelle. El Kantara, le pont garde le défilé et pour ainsi dire l’unique porte par où pénétrer dans le Sahara. Ce passage est une déchirure étroite, qu’on disait faite de la main d’homme, dans une énorme muraille de rochers de trois ou quatre cent pieds d’élévation.


Biskra – La Mosquée de Sidi Malek

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Biskra est la porte du grand sud.
Elle forme un contraste saisissant avec la bigarrure des hauts plateaux et du massif Auressien tout proche. Il existe plus de 70 variétés de palmiers dattiers et par conséquent de dattes. La datte la plus connue et commercialisée est la fameuse Deglet Nour (Doigt de lumière), elle est grosse, claire et onctueuse. Au goût un vrai délice!


Adrar – La palmeraie

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L’oasis est avant tout la palmeraie.
Le palmier est depuis des siècles la ressource essentielle du Sahara. La culture du palmier a engendré l’élaboration de techniques d’irrigation d’une grande subtilité. La région d’Adrar vit d’une sage et intelligente agriculture que favorise une ancestrale technique d’irrigation « les fougaras »


Bou-Saada – La cité du Bonheur

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Distante seulement de 250 km d’Alger, Bou-Saada est l’Oasis du bonheur. Le charme familier qui avait conquis le peintre Etienne Dinet, orientaliste converti à l’Islam qui a voulu y être enterré. L’Oued Bou-Saada coule au pied d’un long escarpement rocheux, avant de se perdre dans la plaine en direction du Chott El Hodna.


El Goléa – La Citadelle

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Le vieux Ksar qui domine l’Oasis à l’Est est à l’origine du nom de la ville moderne d’El Goléa, qui signifie « citadelle ». Le charme d’une Oasis comme celle d’El Goléa, tient à la sobriété des éléments qui composent le paysage, deux ou trois couleurs dominantes, quelques volumes simples, des matériaux bruts et …le silence.


El Oued – La place du marché

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«La ville aux mille coupoles», a cette particularité architecturale qui marque le cadre de vie du Soufi. Presque toutes les habitations sont couvertes de coupoles ou de voûtes. Ces formes offrant une grande surface de réfraction, assurent durant les étés torrides du Souf une fraîcheur et un confort appréciés à l’intérieur des maisons.


Ghardaïa – Le marché aux tapis

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La place du marché de Ghardaïa est entourée d’arcades , c’est un lieu de rencontre fort animé.
«Mademoiselle DAIA» se serait réfugiée dans une grotte, Elle attira l’attention d’un saint homme qui devait l’épouser et fonder la ville GHAR-DAIA, la grotte de DAIA.


Timimoun – La ville rouge

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À travers le monde, peu de villes et de sites réservent un choc à celui qui les découvre. Timimoun est de celles-ci. La ville rouge est construite avec de l’argile. les constructions aux volumes francs ont comme seuls ornements des trous d’ombre, étroites ouvertures dans des murs épais comme ceux d’une forteresse.


Tindouf – Le marché aux dromadaires

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Dans le sud ouest du Sahara, Tindouf ….
Plus qu’une oasis, un trait d’union, un lieu de rencontres et d’échanges. Au souk de Tindouf, convergent régulièrement tous ceux qui veulent conclure des opérations commerciales. Les grands espaces désertiques s’animent de pulsions et de rythmes nouveaux. Le troc bat son plein.


Illizi – La Caravane

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Il est banal de vanter le sens de l’orientation des touareg nomades. Il ont une acuité visuelle et auditive remarquable, mais aussi un sens toujours en éveil, qui leur permet une observation pénétrante des lieux. Ils trouvent des repères dans les régions d’une totale uniformité et savent presque toujours se situer dans l’espace.


Touggourt – L’oasis

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Touggourt est un grand centre producteur de dattes. Ces palmiers drus et puissants enserrent à étouffer une ville blanche, qui, au soleil couchant prend des teintes de vieil or. Les bruits de la vie montent de cet îlot d’humanité : les crissements de charrettes, les rumeurs de la foule, les rires d’enfants. Le cours souterrain d’un vieux fleuve, l’oued Rhir, assure grâce à des puits, une irrigation suffisante.


Djanet – Les fresques du Tassili

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Djanet serait longtemps demeurée une petite oasis oubliée du sud-est algérien si la découverte des peintures rupestres du Tassili n’en avait pas fait un centre mondial de l’art et de la recherche préhistorique. En 1982, le Tassili est déclaré patrimoine mondial par l’UNESCO.


Tamanrasset – Le Hoggar

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«La vue y est plus belle qu’on ne peut le dire ni l’imaginer. Rien ne peut donner une idée de la forêt de pics et d’aiguilles rocheuses qu’on a à ses pieds ; c’est une merveille.»
Père Charles de Foucauld


Tipasa – Les ruines romaines

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«Ce nom simple et doux, semble dormir sans fin au bord d’une route vivante, des maisons basses, au bord d’un port petit où les pêcheurs bavardent. Tipasa magnifique, ignorée et troublante, à peine plus vivante que l’écume des vagues»

Albert Camus


La grande poste d’Alger

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Alger l’Africaine porte d’un continent,
Alger la méditerranéenne, escale sur la plus vieille mer du monde.
Au centre ville, la grande poste dresse sa façade néo-mauresque. De tout temps, cet édifice prestigieux fut le barycentre de la capitale.
Il est encore aujourd’hui un repère, un espace des rendez-vous. À ses pieds se croisent les artères les plus animées de la ville.


La mosquée du Pacha

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A Oran, tout le XVIIIème siècle est dominé par la lutte que se livrent les Turcs et les Espagnols. en 1790, vainqueur le général Mohamed El Kebir pénètre dans une ville en ruine. El Kebir célèbre sa victoire en faisant construire la mosquée du Pacha sur ordre du Pacha d’Alger Baba Hassan.


Djamâa El-Berrani

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C’est une petite mosquée située en haut de la Casbah, comme son nom l’indique, elle est destinée à recevoir d’abord les personnes étrangères à la cité.
L’auvent en tuile verte prononce l’entrée de la mosquée. Le minaret aux proportions équilibrées est rehaussé d’une frise en céramique typiquement locale. Ce petit édifice semble dominer la médina.


Djamâa Ketchaoua

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Plusieurs actes authentiques, dont le plus ancien est de 1612, établissent l’existence de la mosquée Ketchaoua. En 1794, le Pacha Hassen reconstruit cet édifice en l’agrandissant considérablement. A merveille ! elle possède la beauté aux yeux de ceux qui la contemplent. Superbe équilibre d’une architecture édifiée avec splendeur sans parallèle et sans égale.


Djamâa El-Djedid

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Djamaa El Djedid ou Mosquée de la pêcherie à Alger est le type le plus frappant de l’architecture turque, c’est aussi sans conteste l’exemple le plus intéressant par sa conception architecturale et son décor. Elle fut construite en 1660, une grande coupole dont le sommet s’élève intérieurement à plus de 24 m.


Sidi-Fredj

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Le port de plaisance et le complexe hôtelier de Sidi-Fredj, passent pour les plus réussis d’Alger. Les édifices qui composent ce formidable port de plaisance sont d’un modernisme éclatant mais demeurent néanmoins une illustration parfaite de l’architecture séculaire de la Casbah.


Tombeau de Sidi Boumediène

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Une porte à auvent donne sur un escalier qui descend au tombeau mystique Andalou Sidi Boumediène faisant du village El Eubbad un des lieux de pèlerinage les plus fameux du Maghreb. Une courette précède la chambre funéraire de Sidi Boumediène. Un puit est là, où depuis six ou sept cent ans, les pèlerins s’abreuvent.


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