Portraits – Suggestion

Arcane

© Farid BENYAA

«Si ce n’est mes visages, ma peinture est abstraite»
M’hamed ISSIAKHEM – «A la mémoire de…»


Lueur

© Farid BENYAA

«Salve nocturne de l’âme
Où les faisceaux du soleil s’épuisent
Replié sur moi-même je cherche
Le rayon primordial
Comme une clef des songes »
Jean AMROUCHE – Poème «Cendres»


Thaassabith

© Farid BENYAA

«Partout je découvrais des richesses juvéniles de bonne volonté, des visages souriant à l’avenir…»
Mustapha LACHRAF – «Des noms et des lieux, mémoires d’une Algérie oubliée»


Haik

© Farid BENYAA

«La voilette courte en dentelle ne laissait voir du visage que les yeux d’un noir profond au regard  caressant  … le mouvement des lourds cils noirs et recourbés soulignait délicieusement cette intensité unique et  bouleversante.»
Jasmins de nuit


Méditerranéenne

© Farid BENYAA

«Je continue mon voyage passionnant, en compagnie de la poésie qui célèbre la femme libre, belle et rebelle! »
Amin ZAOUI Journal Liberté


Pulsion

© Farid BENYAA

«L’enfermement des femmes était une réalité et pourtant des algériennes, jusqu’alors confinées dans la vie familiale étaient exclus du monde extérieur. Leurs témoignages restent d’actualité car ils illustrent la place que peut et doit occuper la femme dans une Algérie qui assumerait à la fois ses origines et l’évolution inéluctable vers la modernité.»
Danièle Djamila AMRANE – «Des femmes dans la guerre d’Algérie»


Murmure

© Farid BENYAA

«On n’entend pas la voix des femmes. C’est à peine un murmure. Le plus souvent c’est le silence. Un silence orageux. Car ce silence engendre le don de la parole.»
KATEB Yacine «J’ai vu l’étoile qui n’a brillé qu’une fois»


Reflet

© Farid BENYAA

«Comme “un chant conservé dans la gorge” l’aquarelle s’exhale, doucement, spontanément dans le ruissellement de l’eau et des pigments colorés.» Mohammed KHADDA – «Rêveries»


Mystère

© Farid BENYAA

«Cette fois, son regard était au loin, elle m’offrait son profil à contempler, sa peau hâlée d’un grain si pur. La douceur aurait-elle un teint, ce serait le sien ; le mystère aurait-il une lueur, ce serait la sienne.» Amin MAALOUF – Roman «Samarcande»


Complices

© Farid BENYAA


Impression

© Farid BENYAA

«J’écris par passion d’ijtihad, c’est-à-dire de recherche tendue vers quoi, vers soi d’abord.»
Assia DJEBAR 


Bendir

© Farid BENYAA

«Comment ne pas retrouver, dans certains et nombreux vers de l’universelle poésie, les échos de tant d’indubitables, irrépressibles frissons de vie ?» Malek ALLOULA 


Réincarnation

© Farid BENYAA

«Le silence, c’est la mort, et toi, si tu te tais, tu meurs et si tu parles, tu meurs. Alors dis et meurs!» Tahar DJAOUT


Nomade

© Farid BENYAA

«Un vent de sable m’a arrachée d’ici au premier jour de ma vie pour me livrer à un tout autre monde. De déplacement en déplacement, je demeure nomade dans l’âme et garde en moi ce quelque chose qui fait que les grands espaces me dévastent.»
Malika MOKADEM – Roman «La désirante»


Symbole

© Farid BENYAA

«L’artiste, parce qu’il s’adresse à tous, est responsable de la misère, des espoirs de tous… Sa place est sur les barricades partout où souffle la révolte.» Jean SENAC


Taous

© Farid BENYAA

«Toi en filigrane
Séditieuse respiration
Miroirs aux contours imprécis
Quelle illusion se dévoile.»
Djamel AMRANI – «La nuit du dedans»


Univers

© Farid BENYAA

«L’art c’est une vision, une conception du monde. Toi, moi, nous pouvons voir les mêmes choses, vivre les mêmes situations et les ressentir différemment. Ce n’est pas antagonique, c’est enrichissant.» M’hamed ISSIAKHEM 


Rêve bleu

© Farid BENYAA


Tifinagh

© Farid BENYAA

«Notre écriture à nous, en Ahaggar est une écriture de nomades parce qu’elle est tout en bâtons qui sont les jambes de tous les troupeaux. Jambes d’hommes, jambes de méhara, de zébus, de gazelles, tout ce qui parcourt le désert. Et puis les croix disent si tu vas à droite ou à gauche. ét les points, tu vois, il y a beaucoup de points. »
DASSINE, musicienne et poétesse de l’Ahaggar – «Le Tifinagh tel que décrit par Dassine»


Sybilline

© Farid BENYAA

«Il y a des souvenirs qu’on ne partage pas.»
Jean Paul SARTRE  «Les mouches»


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